L'employeur doit avoir pour objectif… de donner des objectifs à ses salariés !
L'arrêt rendu par la Chambre sociale de la Cour de Cassation du 25 novembre 2020 en est une illustration frappante.
L'arrêt rendu par la Chambre sociale de la Cour de Cassation du 25 novembre 2020 en est une illustration frappante.
Par trois arrêts du 28 mai 2020, la Deuxième chambre civile de la Cour de cassation est venue apporter des précisions en matière d’indemnisation en période d’arrêt de travail.
La première affaire concernait une assurée, travaillant auprès de deux employeurs différents.
Une salariée ayant fait l'objet d'un licenciement pour faute grave estimait avoir fait l'objet de harcèlement sexuel de la part de son employeur.
Assez classiquement, un salarié réclame le paiement d’heures supplémentaires accomplies mais non rémunérées par son employeur.
En première instance, il produit des éléments faisant le décompte des heures prétendument travaillées, mais celui-ci, lui rétorque l’employeur, n’a pas été établi au moment de la relation contractuelle.
Une adjointe administrative employée par une commune exerçait par ailleurs des fonctions de représentante du personnel au comité technique.